Et si on parlait qualité de l'air ?

Quand on habite Paris, on devient par la force des choses particulièrement sensible aux problèmes de pollution. Il n'est en effet pas rare de voir planer au dessus de la capitale un nuage grisâtre qui laisse à croire que l'air que nous respirons n'est pas ce qu'il y a de plus pur. Et encore, je n'ai pas trop à me plaindre, car à Montmartre, il semblerait que nous soyons moins atteints par la pollution, en raison de l'altitude notamment (tout comme il fait plus froid sur la Butte que dans le centre de Paris, personne ne me croit quand je dis ça mais je vous jure que c'est vrai !). Sauf que quand on parle de pollution, le danger ne se situe pas forcément là où l'on croit. Saviez-vous par exemple que l'air que nous respirons à l'intérieur de nos maisons entre autre est en moyenne 8 fois plus pollué qu'à l'extérieur ? Et quand on sait que nous passons 80 % de notre temps à l'intérieur, ça donnerait presque envie d'aller faire un tour de périph' toutes fenêtres ouvertes !

Plus sérieusement, il faut savoir que nombreux sont les facteurs de pollution dans une maison : poussières, pollens, acariens, fumées de cigarettes, substances volatiles contenues dans de nombreux produits ménagers et j'en passe. D'où l'importance d'aérer son chez soi tous les jours, au moins 10 minutes. Et encore une fois sur ce coup là, j'ai pas mal de chance, car ouvrir les fenêtres à Montmartre est un vrai plaisir : on entend les chants d'oiseaux et les cloches du Sacré Coeur, le Montmartrobus est électrique, et comme de toute façon j'habite côté cour, je ne suis pas dérangée par les gaz d'échappement du peu de voitures qui circulent dans le quartier. Et si ce n'est qu'en hiver, surtout quand j'oublie de fermer les fenêtres, ça caille sévère, c'est un réflexe que j'ai acquis depuis longtemps et auquel je fais très attention. Mais quand on habite sur les Champs Elysées par exemple, entre le bruit et la circulation, ouvrir ses fenêtres ne doit pas toujours être évident. Ok, quelle idée aussi d'habiter sur les Champs, mais c'est pareil pour ceux qui y travaillent !

Heureusement, il existe aujourd'hui des solutions simples et efficaces comme les purificateurs d'air. Quand je dis simple, c'est parce qu'une fois l'appareil branché, il n'y a rien à faire de spécial. Par contre, à expliquer, c'est une autre paire de manches ! Pour résumer, j'ai appris qu'il existait 4 principales technologies de purification (Ionisation, Photocatalyse, Filtres, Plantes). Les purificateurs par filtration font passer l’air au travers de plusieurs filtre, chaque filtre étant dédié à une catégorie de polluant, ce qui est le cas de l'Intense Pure Air® de Rowenta. Avec cet appareil, il suffit d'une heure pour filtrer 99,5% des particules les plus fines dans une pièce de 70 m2. Et pour en savoir plus sur les caractéristiques techniques du purificateur d'air, rendez-vous sur le site dédié. 

Comme je n'ai pas pour habitude de vous raconter n'importe quoi, je me dois de vous avouer que je n'ai pas testé l'appareil. Mais avant d'en parler, j'ai quand-même vérifié les avis des consommateurs sur internet, qui sont il faut l'avouer assez unanimes : efficace, rassurant, silencieux, simple et intelligent sont les adjectifs qui reviennent le plus souvent au sujet de ce purificateur.

Une chose est sûre, c'est qu'avec ce genre d'appareil, les vilains microbes et autres bactéries malsaines n'ont qu'à bien se tenir !