Bouts de vie from Montmartre, Paris et ailleurs...
4 Février 2019
C’est une catastrophe Thérèse ! Déjà plus de 3 mois que je n’ai pas écrit la moindre ligne par ici, ni même publié le moindre instantané... Quand je pense qu’il fut un temps où je mettais en ligne jusqu’à 5 articles par semaine !!! Mais ça, c’était avant... Avant Montmartre Addict, avant de monter ma boite, avant de courir vraiment après le temps... Je ne suis pas ultra fan des bonnes résolutions en début d’année (d’ailleurs déjà bien entamée), mais si je pouvais arriver à être un tout petit peu plus présente par ici en 2019, ce serait vraiment bien...
Sinon, ces derniers temps, comme j’ai quand-même fait quelques trucs sympa, voici en mots et images un petit résumé du mois de janvier...
Est-ce parce que je ne suis pas suffisamment sensible à l’art contemporain, ou parce qu’en fait je n’avais pas bien compris le principe de l’exposition, mais j’ai été un peu déçue par On The Wall, qui à mon sens s’adresse plus aux amateurs d’art qu’aux fans de Michael Jackson. Il vous reste quelques jours pour vous faire un avis...
On The Wall au Grand Palais jusqu’au 14 février
Et c’était vraiment bien ; sauf que la dernière représentation a eu lieu le 19 janvier. Mais si la pièce part en tournée, ou reprend à Paris, je vous la recommande vivement. Dans le genre « comédie de boulevard » moderne, tout y est ! On rit beaucoup, vraiment, le trio de comédiens est parfait, bref de quoi passer une excellente soirée.
Oui le scénario est un peu cliché, mais franchement, c’est un très joli film, avec un Lambert Wilson toujours aussi impeccable et en prime la participation de Michel Jonasz (#micheljetaime). La bande son est un vrai régal, nous on a versé notre petite larme, et Junior (12 ans ½) a beaucoup aimé aussi.
Qu’est-ce que j’ai flippé ! Je crois savoir que le film détient l’un des records du nombre de spectateurs sur la plateforme (45 millions en une semaine), et qu’il n’a pas fait l’unanimité. Moi, j’ai adoré, planquée sous la couette les ¾ du temps tellement j’étais stressée... Tout ce que j’aime !
J’avais vu le spectacle en octobre 2017 et je m’étais promise d’y retourner avec les enfants. Chose faite en ce début d’année, puisque Les Franglaises étaient de retour à Bobino pour une poignée de représentations exceptionnelles ; et c’est toujours aussi hilarant !!! Il vous faudra malheureusement attendre octobre prochain pour voir le spectacle, mais vraiment, si vous aimez rire, chanter, délirer, c’est un spectacle à ne vraiment pas rater !!!
Les Franglaises à Bobino du 9 au 28 octobre 2019 : www.bobino.fr
Il était temps, puisque j’y suis allée le dernier jour ! Mais je voulais absolument voir cette exposition dans le prolongement de ma lecture de « Pierre-Auguste Renoir, mon père » (dont je vous parle après). Où j’ai découvert que même s’il s’en est toujours plus ou moins défendu, l’œuvre cinématographique du fils a largement été inspirée par l’œuvre picturale du père, et qui m’a surtout donné envie de revoir pas mal de films...
Non pas que j’ai été particulièrement fan de Johnny Hallyday, mais il se trouve que j’ai la chance de connaître Pierre Billon, et je me suis régalée à la lecture de sa biographie, qui raconte avec modestie non seulement son amitié avec Johnny, mais surtout, son incroyable parcours ! Depuis Montmartre, où Edith Piaf vient l’embrasser avant de s’endormir dans sa chambre au dessus du cabaret de sa maman Patachou, jusqu’à New York, où il devient l’amant de Julia Migenes et de Liza Minelli, on traverse la France avec Michel Sardou et l’Amérique avec Johnny Hallyday, et on croise tous ceux qui ont compté dans le monde de la musique depuis les années 60. Bref, je me suis régalée parce que le livre est à l’image de son auteur : d’une simplicité et d’une élégance rare.
2019 marque le centenaire de la mort du peintre qui passa une bonne partie de sa vie à Montmartre. J’avais donc, pour des besoins professionnels, besoin de me documenter, et en choisissant la biographie de peintre écrite par son fils, je me m’attendais à adorer à ce point ce livre, dont j’ai appris entre temps qu’il avait été un best-seller mondial. Au delà d’être extrêmement bien écrit, c’est tout simplement passionnant. J’ai pris un plaisir infini à me balader dans les rues du Montmartre de la fin du XIXe siècle, où Jean naquit en 1894, et à côtoyer durant plus de 500 pages les peintres et les nombreux artistes amis de Renoir, découvrant un personnage terriblement atypique et attachant.
C’est la seule invitation presse que j’ai réussi à honorer ce mois-ci, mais j’étais très curieuse de découvrir ce concept 100% frites. C’est accompagnée de ma copine Anne, LA spécialiste es-frites de Paris, que je suis donc allée goûter ces fameuses frites cuites à la graisse de bœuf, et ma foi, c’est super bon ! Ici, ce ne sont pas les frites qui accompagnent la viande ou le poisson, mais l’inverse. On choisit ainsi la taille de la barquette de frites, la sauce (toutes faites maison, mais je vous recommande la sauce signature Pont-Noir à l’encre de seiche), et l’accompagnement : charcuterie, aiguillettes de poulet, poisson ou salade... Et on peut aussi s’offrir un apéro frites-champagne en afterwork ; so chic ! C’est simple, c’est bon, et cerise sur le gâteau, le lieu ne sent pas le graillon ! Une bonne adresse « sur le pouce » à deux pas des grands boulevards.
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Lulu, pacsée, maman comblée, marâtre assumée et communicante digitale de proximité.
Lulu From Montmartre est mon blog personnel. Pour tout savoir sur Montmartre autrement, rendez-vous sur www.montmartre-addict.com.
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